46,5 milliards de dividendes pour les actionnaires du CAC 40. Un plafond qui n’a plus été atteint depuis la crise des subprimes de 2008. La part du lion revient étrangement à l’État français dont les entreprises à participation publique (Orange, Renault, Engie) ont versé de 5 à 6,5% de dividendes contre 4% en moyenne au sein du CAC 40 et … 0,75% par les caisses d’épargne des Français.
Pourtant, en un an, la valeur moyenne des titres boursiers a baissé de 40%. Une opération illusion pour garder nos « bienfaiteurs » étrangers, qui possèdent plus de 50% des titres français contre 20% pour celle de New-York et un tiers pour celle de Londres.
A l’instar de la justice, la crise n’est pas la même pour tous … Et « le parti de l’étranger » a encore de beaux jours devant lui !
Source : Le Canard enchaîné